Au sommaire de cette édition:
- Compte-rendu du Conseil d’école du 15 octobre 2015 vu par le GIPE
- La confiance : perdre pour gagner
- Pour un passage protégé et un ralentisseur devant l’école
- La rentrée en 6è : témoignage d’un parent
- Les plantations dans la cour de l’école
- Réforme du collège : des impacts sur l’école primaire ?
- Auxiliaire de Vie Scolaire (AVS) : pour qui ? pour quoi ?
- Le nouveau système de zonage dans la cour de Ripoche
- Pour lutter contre le harcèlement à l’école
- Coup de pouce à Coup de Pouce, une association pour du soutien scolaire
- Bonne retraite Alain !
Chers parents,
Nous avons préparé ce numéro des Echos avant les événements du 13 novembre dernier. Nous avons décidé de ne pas mettre d’additifs particuliers sur ces événements, mis à part cet édito.
La directrice nous a informés que la minute de silence de ce lundi midi 16 novembre s’est déroulée dans le plus grand respect de la part de tous, les enseignantes ayant pris soin d’aborder le sujet en amont en toute bienveillance et connaissance particulière de leurs élèves, et que les consignes nationales de sécurité, notamment sur les sorties scolaires, de proximité ou non, seront appliquées.
Vous pouvez suivre nos informations mises au fil de l’eau sur notre site internet et notre page Facebook.
Nous vous souhaitons bonne lecture.
Bien à vous,
Toute l’équipe du GIPE
Compte-rendu du Conseil d’école du 15 octobre 2015 vu par le GIPE
Etaient présents au conseil :
Pour l’équipe enseignante :
Mme Percelier, directrice ; Mmes Ribeyre et Miret pour le CPa ; Mme Ménard pour le CPb ; Mmes Josse et Grammaticopoulos pour le CE1a ; Mme Blondot pour le CE1b ; Mme Richir pour le CE2/CM1 ; Mmes Garson et Miret pour le CE2 ; Mme Rodriguez pour le CM1 ; Mme Cadenat-Aronica pour le CM2 ; M Martin (professeur de la ville de Paris) pour l’EPS ; Mme Samson (professeur de la ville de Paris) pour les arts visuels ; Mme Ritter (professeur de la ville de Paris) pour la musique.
Pour les représentants des parents d’élèves :
FCPE : M Lagoutte, P Ravaux, A San Luca, N Berbed, M Magnier-Moreno, F Coulhon, M Ammour.
GIPE : F Barral, P Segers, C Delmotte, M Voisin, A Maurice.
Concernant les effectifs de chaque classe :
2 CP à 22 élèves
2 CE1 à 23 élèves
1 CE2 à 26 élèves
1 CE2 /CM1 à 11 et 10 élèves
1 CM1 à 24 élèves
1 CM2 à 26 élèves
178 élèves sont inscrits à la cantine, 81 à l’étude et 52 aux ateliers bleus.
12 élèves font l’objet d’un PAI (projet d’accompagnement individuel) et un élève bénéficie d’une AVS (auxiliaire de vie scolaire).
Parmi les CM2 de l’école Asseline de l’année dernière entrés en 6ème cette année :
18 sont scolarisés au collège Giacometti, 3 au collège Daudet, 7 au collège Paul Bert, 1 au collège Jean Moulin, 1 à Henri IV, 4 dans des établissements privés et 1 hors Paris.
En abordant ces chiffres, Mme Percelier nous informe que la principale du collège Giacometti, Mme Guichet, ainsi que d’anciens élèves de l’école scolarisés dans ce collège, ont été invités à l’école pour une rencontre parents et élèves de CM1 et CM2.
La trésorerie de la coopérative est de 633,45€ à la rentrée. Le premier appel à cotisation a rapporté 2847,30€.
Intervenants bénévoles et initiatives de parents :
L’école bénéficie de la présence d’une bénévole de l’association « lire et faire lire », intervenant dans les classes de CE2 et CM1 de Mmes Garson et Richir.
La petite bibliothèque anglaise va certainement ré-ouvrir prochainement sous l’impulsion d’une maman volontaire (pour rappel, cette petite bibliothèque anglaise a été initiée il y a quelques années par une maman anglaise qui proposait aux enfants, un jeudi soir sur deux, de venir emprunter un livre anglais pour les quinze jours ; sa fille a depuis quitté Asseline pour le collège et la maman a donné les livres à l’école, pour que la bibliothèque anglaise continue. Mais faute de parents qui animent cette bibliothèque, elle n’a pas pu reprendre). Nous vous tiendrons au courant de son organisation dès qu’elle sera fixée.
L’association Migrant-Plaisance organise l’aide aux devoirs : 12 enfants de l’école y sont pris en charge.
L’association Coup de Pouce propose, pour la deuxième année, une aide spécifique aux devoirs pour les élèves de CP les plus en difficulté.
Les problèmes de comportements :
L’équipe enseignante ainsi que certains parents d’élèves abordent le sujet des classes de CP particulièrement difficiles cette année. Les maîtresses concernées évoquent des problèmes récurrents de désobéissance, manque d’attention et comportements très agités, voire violents de certains enfants (les cas individuels ne sont pas évoqués en Conseil d’école, seulement le problème général que cela pose au sein de l’école).
L’équipe enseignante intervient dans la limite du temps scolaire, le temps périscolaire étant géré par les équipes d’animateurs. L’équipe enseignante constate que le règlement de l’école n’est pas forcement appliqué de la même façon durant ces périodes distinctes, ce qui peut créer la confusion dans l’esprit des enfants. A noter que lors du temps périscolaire, les temps d’intervention sont plus courts, et certaines activités sont difficiles à canaliser.
Les parents demandent plus de communication afin de mieux cerner la nature des problèmes. En ce qui concerne les élèves les plus perturbateurs, les parents sont parfois démunis face aux problèmes de leur enfant.
L’équipe enseignante nous assure de son extrême vigilance face à ces problèmes et appelle à plus de sérénité et de confiance dans certaines relations parents-enseignants sur ce sujet sensible.
Les représentants des parents demandent à ce que Mme Namor, responsable du périscolaire, puisse être présente aux conseils d’école afin de pouvoir aborder ensemble ces problèmes récurrents.
Mme Percelier propose l’organisation d’une réunion spécifique sur le vivre ensemble à l’école avec les représentants des différents intervenants (scolaire et périscolaire).
Ces problèmes de violence pourraient également être abordés avec les délégués des élèves lors de leurs conseils.
Les représentants des parents présents proposent la mise en place dans l’école d’un système de zonage dans la cour de récréation (système expérimenté à la maternelle Maurice Ripoche avec succès – voir photos dans ce numéro des Echos). Il s’agirait de diviser l’espace en zones d’activités : activités dynamiques, intermédiaires et calmes. Les élèves de la maternelle ayant eu connaissance de ce système le retrouveraient à leur entrée à Asseline.
Le règlement intérieur : Il est voté après quelques légères modifications.
Programmes scolaires :
En raison de la réception tardive des consignes, l’application des nouveaux programmes dans certaines classes (CE2) n’a pas pu faire l’objet d’évaluations.
Les conseils des enfants :
Composés des délégués de classes ainsi que de la directrice, ils sont axés cette année sur le thème de la laïcité à l’école et en société. Les projets élaborés par les élèves y sont discutés. Huit conseils d’élèves devraient se tenir à l’école cette année.
Appel aux dons :
L’école a besoin de petit matériel informatique, souris, enceintes, lecteur CD…
Philippe Segers et Annabelle Maurice
La confiance : perdre pour gagner
On parle parfois du grand saut pour désigner l’entrée à l’école élémentaire. C’est sûr que c’est une sacrée aventure qui commence, pour les enfants comme pour les parents. Une nouvelle façon de fonctionner, de nouvelles règles, et, pour les parents, la nécessité de laisser son enfant devant la porte de l’école sans l’accompagner dans la classe et échanger avec le maître ou la maîtresse tous les matins. La transmission devient formelle et écrite. Alors, oui, on perd : on perd ce lien que l’on appréciait, on perd la connaissance détaillée de ce qui se passe, de tout ce qui arrive à notre enfant dans la journée. Parfois les choses ressortent plusieurs jours plus tard, parfois pas. C’est là qu’intervient la confiance.
Et c’est difficile de faire confiance, de ne pas tout savoir, de se demander si notre enfant a bien fait ses devoirs (sans avoir la réponse immédiate), s’il ne s’est pas fait embêter dans la cour, ou au contraire s’il n’a pas fait des siennes. Pour cela il faut lâcher un peu, couper un peu plus le cordon, calmer notre envie de tout contrôler. Nous avons deux grands alliés pour nous y aider. D’abord, une bonne école, avec des enseignants de grande qualité et des animateurs très investis. Ensuite, des enfants qui nous font grandir, car eux-mêmes, bien vite, nous disent « fais-moi confiance », et là on se dit « ah oui, tiens, je devrais essayer…». Et ça marche !
Il faut du temps pour s’habituer. Mais une fois que la confiance est là, la grande aventure devient encore plus riche, et tout le monde en ressort grandi : le corps enseignant qui peut remplir sa mission avec plus de sérénité, les enfants qui gagnent en autonomie et nous surprennent de jour en jour, et les parents, qui apprennent à devenir parent d’élève.
Faire confiance, c’est perdre, mais perdre pour gagner.
Marie-Ange Flandin
Pour un passage protégé et un ralentisseur devant l’école
De nombreux enfants de notre école viennent ou partent seuls de l’école. Il a été constaté par les parents d’élèves qu’ils traversaient la rue Asseline au niveau du Passage de la Tour de Vanves sans qu’il n’y ait de passage protégé.
Nous demandons à la Mairie de 14ème la mise en place d’un passage protégé angle Rue Asseline et Passage de la Tour de Vanves.
Les voitures arrivant relativement vite dans cette rue, nous demandons aussi la création d’un ralentisseur de type coussin berlinois, juste après l’angle de la rue Maison-Dieu et la rue Asseline (face au bâtiment diplomatique abritant la délégation de la Corée du Nord).
Hervé Jacob
La rentrée en 6è : témoignage d’un parent
Nous partageons avec vous le témoignage d’une maman dont le fils, en CM2 à Asseline l’an passé, a fait cette année sa rentrée scolaire en 6è au collège Giacometti.
Question du GIPE (Q) : Comment s’est passée la rentrée pour votre enfant ?
Réponse de la maman (R) : Super bien ! Il s’est retrouvé avec deux copains, il est en 6ème anglais, avec initiation en italien.
Q : Est-ce que vous aviez eu à Asseline toutes les informations utiles sur le collège ?
R : J’avais eu des informations par une amie qui connait bien le collège, et dont la fille y est scolarisée ; et une autre maman dont la fille, bonne élève, était aussi dans ce collège. Je n’ai pas cherché plus loin. J’avais été aussi à la réunion à Asseline où la proviseur de Giacometti présentait le collège.
Q : Le niveau scolaire en sortie d’Asseline permet-il à votre enfant de bien suivre sa 6è ?
R : Oui !
Q : Avez-vous hésité à aller à dans le collège du quartier ?
R : Non pas du tout. Et je n’ai pas laissé le choix à mon enfant.
Q : Est-ce que la mixité y est bien représentée ?
R : Le collège n’est pas forcément bien représenté en mixité, il reflète le quartier. Phénomène accentué par la « fuite » de certaines familles vers le privé.
Q : Si il fallait refaire, qu’est-ce que vous garderiez ? Qu’amélioreriez-vous ?
R : Pour le moment, je referais les mêmes choix, car les résultats de mon fils n’ont jamais été aussi bons. Il a de très bonnes notes, et se sent bien dans son collège.
Q : Quels conseils à donner pour les futurs parents de collégiens ?
R : Discuter avec les parents qui savent reconnaître que la non-réussite scolaire d’un élève n’est pas uniquement la faute du collège, avec des parents qui ont eu une expérience ; visiter le collège ; faire abstraction de l’extérieur du collège ; faire comprendre aux enfants qu’à la sortie des cours, on rentre directement chez soi et qu’on ne traine pas. L’éducation vient des parents et les parents doivent suivre leur enfant dans leur scolarité et leur comportement.
Témoignage de Ghislaine Amy. Propos recueillis par Maryline Voisin.
Les plantations dans la cour de l’école
Des bacs de plantation dans la cour d’école, par et pour nos élèves… mais que donc y pousse-t-il ?
Suspense… En tout cas une affaire à suivre !
Florence Barral
Réforme du collège : des impacts sur l’école primaire ?
Voici maintenant plusieurs mois que nous entendons parler de la réforme des collèges qui va rentrer en application à la prochaine rentrée 2016. Les mesures phares de cette réforme sont connues, elles ont été abondamment discutées et commentées par les « pour » et les « contre » : développement des temps d’apprentissage en petits groupes, renforcement de l’enseignement des langues vivantes pour tous avec 2 langues vivantes dès la 5è, développement des enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), suppression de l’enseignement du latin dans sa forme actuelle pour l’intégrer dans un EPI, plus de temps d’accompagnement personnalisé pour les élèves…
Assez logiquement, la réforme des collèges concerne donc principalement… le collège. Toutefois, on ne le sait pas forcément mais certaines dispositions concernent plus ou moins directement l’organisation des apprentissages à l’école primaire. Concernant l’apprentissage des langues étrangères dans lequel la France fait toujours figure de mauvais élève, si l’apprentissage de la langue vivante 2 est introduit en 5è, l’apprentissage de la langue vivante 1 est inscrit dans la réforme dès le CP. Un objectif ambitieux et nécessaire mais dont les modalités de mise en œuvre, qui posent la question des moyens et des compétences, restent à préciser aujourd’hui.
Enfin, des ponts existeront entre l’école primaire et le collège par la mise en place de cycles qui rythmeront le temps de la scolarité de la maternelle au lycée. Le cycle 1 regroupe les années de maternelle. Les cycles 2 (CP, CE1, CE2), 3 (CM1, CM2, 6è) et 4 (5è, 6è, 3è) sont conçus par cycles de trois ans afin de garantir l’acquisition d’un socle commun. Le cycle 2 est conçu comme le cycle des apprentissages fondamentaux. Les élèves seront désormais évalués en français et en mathématiques au début du CE2.
Le cycle 3 (CM1, CM2, 6è) est, quant à lui, un cycle de consolidation. Il reliera les deux dernières années de l’école primaire et la première année du collège dans un souci renforcé de continuité pédagogique. Il a un double rôle : consolider les apprentissages fondamentaux qui ont été engagés au cycle 2 et qui conditionnent les apprentissages ultérieurs et permettre une meilleure transition entre l’école primaire et le collège en assurant une continuité et une progressivité entre les trois années du cycle.
La classe de 6è se voit conférer une place particulière dans le cycle : elle permet aux élèves de s’adapter au rythme, à l’organisation pédagogique et au cadre de vie du collège tout en se situant dans la continuité des apprentissages engagés au CM1 et au CM2.
Tels sont aujourd’hui les axes de la réforme des collèges. Le Gipe vous tiendra informés de sa mise en place dans les prochains mois.
Florence Lourier
Auxiliaire de Vie Scolaire (AVS) : pour qui ? pour quoi ?
Depuis 2006, grâce notamment aux lois de 2005 et 2013 pour l’égalité des droits et des chances et la refondation de l’École de la République pour la scolarisation des élèves en situation de handicap, le nombre d’élèves en situation de handicap scolarisés en milieu ordinaire a plus que doublé avec plus de 260 000 à la rentrée 2015.
L’objectif est d’aller vers une école toujours plus inclusive sachant s’adapter aux besoins spécifiques.
Dès l’âge de deux ans, si leur famille en fait la demande, les enfants en situation de handicap peuvent être scolarisés à l’école maternelle.
Chaque école a vocation à accueillir tous les enfants, quels que soient leurs besoins. Pour répondre aux besoins particuliers des élèves en situation de handicap, un projet personnalisé de scolarisation (PPS) organise la scolarité de l’élève, assorti des mesures d’accompagnement décidées par la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH).
Les conditions de la scolarisation d’un élève handicapé dans une école élémentaire varient selon la nature et la gravité de son handicap.
Selon les situations, la scolarisation peut se dérouler soit sans aucune aide particulière, soit avec des aménagements lorsque les besoins de l’élève l’exigent. Le recours à l’accompagnement par un auxiliaire de vie scolaire (AVS) concourt à rendre possible l’accomplissement de la scolarité. C’est la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) qui décide, après évaluation des besoins de l’élève en situation de handicap, d’attribuer cette aide humaine.
Tous les auxiliaires de vie scolaire doivent recevoir une formation au plus près de leur prise de fonction. Une formation d’adaptation à l’emploi leur est proposée.
Concrètement, une auxiliaire de vie scolaire, c’est un adulte en plus au sein de l’école, dédié à un enfant qui en a besoin, et avec qui l’école doit apprendre à fonctionner. Pas toujours simple dans les faits !
Pour plus d’information vous pouvez consulter :
http://www.education.gouv.fr/cid207/la-scolarisation-des-eleves-handicapes.html#Dispositifs_de_scolarisation
Florence Barral
Le nouveau système de zonage dans la cour de Ripoche
Les zones de jeu, de calme, de course… sont marquées au sol, expliquées aux enfants, connues des parents.
Pour lutter contre le harcèlement à l’école
Télé, radio, journaux, réseaux sociaux… tout le monde en a parlé : voilà le numéro de téléphone mis en place pour signaler un phénomène de harcèlement scolaire, c’est le 3020.
Des affiches sur les arbres de la cour d’Asseline permettent à nos enfants d’en savoir plus s’ils le souhaitent.
Alors c’est sans doute dommage que les textes affichés soient un peu copieux et un tantinet compliqués pour des élèves en élémentaire, mais c’est une bonne chose que de tous se mobiliser pour endiguer le harcèlement scolaire !
Florence Barral
Coup de pouce à Coup de Pouce, une association pour du soutien scolaire
Coup de Pouce est un groupe de parents engagés dans le soutien et le suivi scolaire des enfants ayant des difficultés à l’entrée de l’école élémentaire Asseline (niveau CP). L’association cherche des répétiteurs/trices bénévoles pour prendre en charge ces enfants et ainsi ne laisser aucun enfant au bord du chemin. Parents, grands-parents, vous pouvez rejoindre Coup de Pouce, ne serait-ce qu’une fois par semaine le lundi, mardi, jeudi ou vendredi (16h30), ou samedi matin.
Pour toute information, vous pouvez contacter l’association par mail sur cdp.asseline@gmail.com, vous adresser aux parents délégués, aux enseignants ou via le cahier de correspondance.
Bonne retraite Alain !
Le GIPE souhaite remercier Alain Foissy pour avoir accompagné nos enfants durant toutes ces années, en cours d’arts plastiques. Merci, Monsieur Foissy, pour ce goût des arts que vous avez su transmettre à nos élèves. Nous vous souhaitons une retraite paisible, pleine de projets personnels.